Tout d'abord, bonsoir également et bienvenue parmi nous !
J'ai lu attentivement votre missive retranscrite par notre chef bien aimée. L'épopée qui fait non, non, non... hum, pardon ! L'épopée, disais-je, narrant votre intronisation fut tout à fait intéressante. Vous avez la verve du conteur, ce qui est des plus plaisant. Je déplore toutefois que, probablement par soucis d'oublier quelques mots, peut-être, vous parlez si vite que votre accent si sympathique se fait entendre. Peut-être venez-vous du Sud pour vous montrais, plutôt que de vous montrer, de votre châleur personnel.
Vous pouvez parler sereinement, nous vous écoutons avec attention. J'espère pouvoir vous retrouver parmi nous et défendre les vertus à nos côtés.
De façon plus personnelle, il est vrai que vos actes parleront d'eux-même. Cependant, il serait dommage de point pouvoir discuter avec vous autrement que par des rapports de batailles. J'espère pouvoir vous voir sur la plaine. Cela nous donnera l'occasion d'échanger quelques rires et avis.