Gentes Dames et Nobles Seigneurs de la Hanse,
J'ai la faiblese de croire que plusieurs d'entre vous me connaissent déjà.
Pour les autres, je suis le Seigneur Erivin, Souverain du Royaume de Tormal, ancien membre de feue l'Utopie, et ancien Diplomate de cette dernière.
J'avais remis en place il y a maintenant moultes mois les relations diplomatiques entre mon ancienne guilde et la vôtre, avec succès je le crois.
Je pense que les relations que j'ai pu avoir avec cette guilde ont toujours été très cordiales et pour ma part (mais ici Syrënya, Suivil et Kalinz par exemple le savent bien), j'ai toujours apprécié venir ici.
Et puis vint la fin de l'Utopie qui, pour différentes raisons, tant personnelles que royaumesques, a été décidé et mise en oeuvre par mon ancien Chef, le Seigneur Elvytir que nombreux en ces lieux doivent connaître.
J'ai erré quelques temps, venant parfois me ressourcer chez vous, vous qui m'avez toujours chaleureusement accueillis.
Puis un jour, je fus invité à vous rejoindre si le coeur m'en disait.
Alors, j'ai longtemps réfléchi, j'ai observé mes amis ex-Utopiens disparaître peu à peu de l'île, perdant comme moi courage et motivation.
Cette vue me fît réagir.
Je décidais de reprendre contact avec les quelques Seigneurs avec qui j'avais d'amicaux rapports au sein de l'Utopie.
Malheureusement je ne me trouvais qu'avec un seul qui décidait de continuer l'aventure, retrouvant ainsi, ensemble, motivation et courage.
C'est alors que je décidais de donner suite à la proposition qui me fut faite.
Mon ami Soril Nortilnka, connu également en ces lieux, et moi même avons pris la décision de rejoindre la guilde qui représentait pour nous le plus nos valeurs.
Cette guilde est la votre.
Je viens donc vous demander en nos deux noms de bien vouloir étudier nos candidatures et de nous accepter au sein de cette guilde, à laquelle, comme par le passé en Utopie, nous jurons d'ores et déjà de la servir et l'honnorer de notre mieux.
Soril étant absent de l'île pour deux mois nastans, viendra dès son retour vous confirmer et vous demander personnellement, comme je le fais moi-même, son intégration.